Séverine Balanqueux
À mi-chemin entre mémoire collective et regard contemporain, l’univers de Séverine Balanqueux puise dans l’imagerie des années 1980, des objets du quotidien devenus cultes — rollers colorés, casquettes vintage, voitures de Ghostbusters — pour recomposer une iconographie à la fois nostalgique et ultra-visuelle.
Fascinée par les typographies, les objets et tout ce que les paysages balisés de l’Amérique ont d’emblématique, Séverine Balanqueux s’approprie ces fragments visuels comme des symboles. Chaque œuvre semble extraite d’une mémoire collective : les objets aquarellés flottent, détourés sur fond blanc, traités avec précision et érigés en icônes.
Fascinée par les typographies, les objets et tout ce que les paysages balisés de l’Amérique ont d’emblématique, Séverine Balanqueux s’approprie ces fragments visuels comme des symboles. Chaque œuvre semble extraite d’une mémoire collective : les objets aquarellés flottent, détourés sur fond blanc, traités avec précision et érigés en icônes.
Halfway between collective memory and the contemporary eye, Séverine Balanqueux’s universe draws on the imagery of the 1980s, everyday objects that have become cult favorites - colorful rollerblades, vintage caps, Ghostbusters cars - to recompose an iconography that is both nostalgic and ultra-visual.
Fascinated by typography, objects and all that is emblematic of America’s marked-out landscapes, Séverine Balanqueux appropriates these visual fragments as symbols. Each work seems to be extracted from a collective memory: watercolor objects float, diverted on a white background, treated with levitating precision and erected as icons.
Fascinated by typography, objects and all that is emblematic of America’s marked-out landscapes, Séverine Balanqueux appropriates these visual fragments as symbols. Each work seems to be extracted from a collective memory: watercolor objects float, diverted on a white background, treated with levitating precision and erected as icons.